Manger industriel, manger maison, ou un mix entre les deux qu’attend le consommateur des marques et des enseignes aujourd’hui?
La crise sanitaire de la Covid-19 a incité les consommateurs à s’impliquer davantage dans leur alimentation : à manger à la maison, à cuisiner, à acheter plus local et national. Trois ans après les comportements ont encore évolué. L’installation du télétravail, l'inflation, le repli chez soi et sur soi ont renforcé l’influence de la maison et, avec elle, celle du « fait maison ».
Mais le « fait maison » d’aujourd’hui n’est pas celui de nos mères ou grand-mères. Et, si le « manger maison » actuel s’oppose au « manger industriel », le consommateur en intègre aussi les propositions qu’il estime être les plus en affinité avec lui.
Sophie Bertin, de Spring & Co, experte en études et conseil sociomarketing, nous montrera l’influence du « manger maison » sur les arbitrages des shoppers en magasin, et sur leur manière d’évaluer les marques fabricantes et les distributeurs.
Modalités pratiques
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